Encore une bonne nouvelle pour l’industrie pharmaceutique ! On pensait jusqu’à lors, innocents que nous étions, que les dérèglements alimentaires responsables de l’obésité étaient dus aux sucres et graisses en particulier et à l’alimentation moderne en général, ainsi qu’à des troubles compulsifs d’origine émotionnelle.
Et bien, il n’en est rien ! Ce n’est pas encore démontré, mais on s’oriente pour incriminer un adénovirus, l’AD-36, et des bactéries présentes dans la flore intestinale. (...)