Dossier traitements

 
  • dimanche 8 novembre 2020.
    1. Le plasma de Quinton
    2. Classiques ou alternatifs : les traitements du tétanos
    3. Traitements hormonaux substitutifs : des risques de cancer du sein augmentés jusqu’à cent soixante pour cent
    4. Lutte contre la tuberculose : la France encore en retard d’une guerre
    5. Chirurgie sans transfusion

    Le plasma de Quinton

    Le biologiste René Quinton (1867-1925) a montré, vers 1897, qu’il y a identité profonde entre l’eau de mer et le sang, le milieu intérieur des animaux et des hommes.

    Il fait cette expérience mémorable : il saigne à blanc un chien, lui prélevant un vingtième de son poids sous forme de sang, qu’il remplace par une même quantité d’eau de mer diluée. L’animal se rétablit rapidement, reconstitue ses globules rouges et retrouve une vitalité supérieure à celle qu’il présentait avant l’opération. Autre épreuve aussi importante : à un chien de dix kilos, il injecte 6,6 litres d’eau de mer en 90 minutes. L’animal rejette l’eau par les voies urinaires et se rétablit rapidement, sans aucun trouble, mais présente au contraire un surcroît de vitalité. Claude Bernard avait suggéré, et Quinton allait prouver que les cellules animales baignent littéralement dans un milieu semblable à l’eau de mer. Mais le milieu intérieur se vicie par insuffisance des organes éliminateurs, par défaut de certains apports alimentaires, etc. L’eau de mer doit donc jouer un rôle utile dans tous les cas de dégénérescence, où le milieu intérieur se dégrade. Quinton prend ici le contre-pied de Pasteur qui avait consacré sa vie à la recherche de l’agent pathogène.

    La méthode Quinton dispose des moyens de rééquilibrer le milieu intérieur, le sang des animaux et de donner à la matière vivante la force d’arrêter la prolifération des microbes.

    Syndicat Hippocrate : contacter Mr Jacques Daudon

    Saumane 05700 Serres

    Tél : 04.92.67.05.48

    Médecines Nouvelles n°94 août 1999


    Classiques ou alternatifs : les traitements du tétanos

    Au mois d’octobre dernier, à Paris, s’est tenu un congrès organisé par les différentes associations qui oeuvrent pour la liberté des vaccinations et pour la reconnaissance des médecines alternatives. Le sujet de ce congrès était la remise en cause du dogme vaccinal qui a imprégné la pensée médicale française et qui, curieusement, est beaucoup moins impératif dans différents pays européens qui nous entourent.

    Ainsi, par exemple, Il est remarquable que, dans des états comme les pays nordiques, où les responsables de la santé publique ont renoncé à imposer l’obligation du vaccin anti-tuberculeux, depuis de nombreuses années, on observe des taux de tuberculose largement inférieurs aux nôtres, où l’obligation vaccinale existe depuis bientôt cinquante ans.

    Parmi les différentes interventions, nous avons remarqué celle de Françoise Joët qui dirige l’association ALIS et qui vient de publier un livre consacré au tétanos et Intitulé : « Le mirage de la vaccination ».

    Dans ce livre, elle présente et analyse les différents traitements qui sont actuellement utilisés, en médecine classique, pour le traitement de cette maladie qui fait encore très peur. Mais, surtout, elle rappelle qu’il existe des traitements efficaces en médecine non-conventionnelle.

    In médecines nouvelles ; n°97 2ème trimestre 2000 Retour au sommaire


    Traitements hormonaux substitutifs : des risques de cancer du sein augmentés jusqu’à cent soixante pour cent

    Depuis les débuts de notre publication, nous n’avons cessé de mettre en garde nos lectrices contre les traitements hormonaux substitutifs proposés aux femmes, sous couvert d’une prévention de l’ostéoporose. Car, pour leur faire éviter un risque hypothétique de fracture du col du fémur, ou de tassement vertébral, les spécialistes n’ont pas hésité comme le prouve un article du JAMA à leur faire assumer des risques bien plus graves de cancer du sein. Les femmes à qui l’on a proposé ces traitements substitutifs ont-elles été réellement informées de cette augmentation des risques de cancer ?

    Si elles ne l’ont pas été, vont-elles pouvoir poursuivre leur prescripteur ?

    JAMA : journal of the américan médical association

    Une vaste étude, publiée mercredi 26 janvier dans le JAMA, montre que le risque de cancer du sein est accru de façon importante chez les femmes recevant, après la ménopause, un traitement hormonal à base d’œstrogène et de progestérone.

    (Le Monde du 29 janvier 2000)


    Lutte contre la tuberculose : la France encore en retard d’une guerre

    L’association ALIS (Association Liberté information Santé) nous révèle que, selon un rapport de l’O.M.S. ( Organisation Mondiale de la Santé) et de ses partenaires (Union Internationale contre la tuberculose et les maladies respiratoires et « Center of Disease control d’Atlanta »), une nouvelle forme de tuberculose, à bacilles pharmaco-résistants, déjà confirmée dans plusieurs pays, et donc incurable, pourrait déferler sur notre pays. Pour faire face à cette épidémie, l’O.M.S. propose une stratégie résumée par le sigle D.O.T.S. qui signifie : « stratégie de traitement sous surveillance directe ».

    Ce programme, mis en place au niveau mondial, accorde toute la priorité au dépistage et au traitement surveillé des malades, et non plus à la vaccination, dont elle a, elle-même démontré, dans les années 70, la totale inefficacité, dans une région de l’inde. En 1999, l’O.M.S. a lancé une grande enquête sur cette stratégie auprès de 212 états affiliés. Presque tous ont répondu, (même la principauté de San Marin : 26000 habitants), sauf la France (les états qui n’ont pas répondu représentent seulement 18% de la population mondiale !).

    Plus grave encore, l’O.M.S. considère que parmi les causes de la propagation actuelle de l’épidémie mondiale de tuberculose se trouve “une confiance exagérée” en l’efficacité du vaccin B.C.G. La France sera sans doute le dernier pays du monde à continuer de rendre obligatoire, sous peine d’emprisonnement et d’amende, le vaccin B.C.G. afin de protéger son industrie pharmaceutique, grande exportatrice, et ce au détriment de la santé de sa population.

    Association ALIS

    Liberté Information Santé

    19 rue de l’argentière

    63200 Riom

    Tel/Fax : 04.73.63.02.21.

    In « Médecines nouvelles » n°100 1er trimestre 2001


    Chirurgie sans transfusion

    Ce qui n’était qu’une conviction religieuse arborée par les Témoins de Jehovah est en voie de devenir une préférence des médecins de pointe. La revue Times a édité en automne 97 un supplément traitant de ce sujet avec le concours de l’Institut de recherche de Englemond, USA. Cet institut figure en tête de 50 hôpitaux américains où les chirurgiens n’ont plus recours à la transfusion. Aussi, ces établissements proposent-ils un éventail de techniques réduisant les pertes sanguines.

    Dans un cas de perte de sang de 90%, il est, d’après eux, encore possible d’éviter la transfusion, par une supplémentation en fer et en vitamines à fortes doses, ainsi que érythropoïétine de synthèse qui stimule la fabrication de globules rouges au niveau de la moelle osseuse. Il est dommage que l’on ne parle pas de transfusion de remplacement par le sérum de quinton (eau de mer stérilisée et diluée au 1/5) qui a fait ses preuves pendant 1/4 de siècle.

    Le 28 novembre dernier, le Dr Edwin Deitch, Directeur à l’University Hospital de Newark, USA, déclarait :

    « Les techniques sans transfusion mises au point à l’usage des Témoins de Jéhovah ont montré que ceux-ci se remettent mieux que prévu des opérations, et mieux que ceux qui ont été transfusés. De fait, le sang transfusé peut affaiblir le système immunitaire et entraîner des infections postopératoires. Il peut aussi accroître le risque de récurrence du cancer.

    Nous pouvons ajouter à tout cela des troubles multiples apportés par le sang du donneur, que beaucoup de transfusés ont pu constater, tels que migraines, douleurs diverses, allergies et aussi dédoublement de personnalité avec états psychiques paradoxaux.

    Selon le Times, 25% des transfusions effectuées aux Etats-Unis ne seraient pas nécessaires. Le Dr Shander, de son côté, prône l’épargne du sang personnel.

    En fait, c’est peut-être le coût exorbitant des transfusions qui permettra de progresser dans cette voie nouvelle.

    Infor Vie Saine N°139

    Acmanne

    127, rue de Fernelmont

    B-5020 Champion

    Belgique

    In Médecines nouvelles n° 107 4ème Trimestre 2002.

    Un article du site : Pour une médecine écologique
    https://medecine-ecologique.info/article.php3?id_article=262