J’avais écrit cet article à la suite du succès du livre de Stéphane Hessel, Indignez-vous, sans jamais le publier or il me semble toujours d’actualité.
A ceux qui déplorent de voir la médecine réduite à des conclusions d’études statistiques, à des résultats de recherches en laboratoire, à des décisions épidémiologiques qui mettent tous les individus sur le même plan, gommant ainsi leurs individualités ?
A ceux qui souffrent de connaître moult moyens thérapeutiques et qui constatent (...)
Vos propos sont très judicieux et reflètent bien la réalité concrète actuelle.
Vous parlez de médecine préventive quand il y a déjà des signes de déficience énergétique. Je préfère le terme de médecine précoce. En corrigeant les carence énergétiques, on évite ainsi de tomber dans une maladie organique, voire chronique.
Cette médecine précoce n’est évidemment pas prise en compte par la médecine biologique, cellulaire et génétique !
De plus, un autre avantage de la médecine précoce apparaît du fait que, quand le problème est récent, on peut remonter "en amont" de la genèse des symptômes et aider le patient à comprendre d’où provient sa chute énergétique. Sinon, il ne reste qu’à suivre les symptômes qui s’intensifient toujours plus "en aval".
Votre "appel à l’indignation" a tout-à-fait sa place mais qui a encore les forces de s’indigner ? Il y a un état de dépression larvée dans la population qui se satisfait passablement d’arriver à joindre les deux bouts et d’assumer chaque jour l’indispensable. Cet état de "manque de pression" ne donne pas la ferveur et le désir de transmuter la situation du moment.