Je viens d’apprendre que Jean-Jacques Crèvecoeur qui s’apprêtait à faire une conférence sur la vie et l’œuvre du Dr. Hamer venait de se voir refuser l’accès à une salle qu’il a pourtant payée.
Cet évènement n’est pas très surprenant car il traine dans le sillage de ce médecin une réputation sulfureuse. Il a d’ailleurs été condamné à trois ans de prison et extradé d’Espagne pour être emprisonné en France dans des conditions de droit très contestables.
J’avoue ne pas bien connaître les (...)
Je comprends votre point de vue et je voyais aussi les choses de cette manière avant de creuser plus en profondeur et d’être confronté à la vérité. La vérité est souvent indigeste, selon la vision, l’angle, les perceptions, les interprétations et les croyances intégrées. Mais sans ces préjugés, elle est totalement neutre.
Le nationalisme provient de votre vision jamais de celle du Dr Hamer. Il est Allemand de par son père et Italien de par sa mère. Lui reprocheriez-vous d’être né en Allemagne plutôt qu’en Italie ou en France ?
Ce ne sont point "thèse" et "théories", Monsieur, mais lois et faits vérifiés et vérifiables (j’ai pris ce soin de tout bien vérifier, je vous en donne ma parole d’honneur), que ceux-ci correspondent ou ne corresondent point à vos idées. Vous n’avez donc point à valider ce qui l’a déjà été par nombre de scientifiques.
Et ajoutés à mes expériences propres avec les Illuminés par lesquelles je m’autorise à seconder le Dr Hamer dans toutes ses positions hautement conscientes, justes et vraies, je vous jure sur mon âme que seule l’invisibilité me protège d’une chasse à l’homme incessante et si vous étiez la cible de ces cavaliers noirs et froids à glacer le sang dans les veines, votre motif d’indigestion changerait radicalement de sujet, votre ignorance des faits, comme le Dr Hamer au début et sa haute naïveté, volerait en éclats.
Le Dr Hamer a été le scientifique le plus éprouvé de notre temps et cela commande je crois réflexion sur son passage entre la certitude d’un accueil enthousiaste à sa thèse universitaire d’une valeur supérieure à toute autre, remettant en cause tout le dogme médical et ses mortelles pratiques sur l’Homme, et le refus obstiné de ne jamais la regarder cette thèse malgré trois injonctions formelles de la cour, éclatante preuve de son irréfutabilité.
Sa manière révoltante d’exprimer son cauchemar, succédant à une candeur toute aveuglée par les apparences nobles des façades des institutions, par l’analyse rationnelle et sans nul préjugé, est fondée. Vous pouvez comprendre que ce savant ne se révolte point pour être reconnu et donc à sa gloire propre, mais pour que la médecine nouvelle le soit et que par elle des vies soient épargnées. Il n’a point froid aux yeux et n’a plus rien à perdre ou à dissimuler ou autrement cacher non plus ayant tout perdu pour faire toute la lumière, dire toute la vérité sur un système obscur englobant toutes nos institutions et qu’il a vu de si près à l’oeuvre pour en avoir été victime à plus d’un chef.
Cette vérité incontestable ne saurait toujours ramper dans l’ombre à l’abri du regard du peuple abusé et manipulé, selon ma perspective éclairée de chercheur ayant vu cette bête d’aussi près et ne pouvant en rien donner tort au savant quant à sa forme suspecte et ses malveillantes intentions.
D’après vous, pour ce génocide humain gigantesque et incomparable que voudriez-vous comme nuances ou mesures dans les discours ? La mort physique est définitive et nous ne traitons point ici de survie de l’âme mais de l’incarné et de l’espèce hautement menacée.
Vous ne pouvez dire que vous ne vous souciez que des plus forts capables de survivre en fuyant le nouvel Holocauste sans égard pour les plus faibles n’y entendant rien et se dirigeant tout droit vers le précipice ? Ou croyez-vous que cette confrérie mondiale de faux sages nous gouvernant veut notre bien, car elle use elle de ces paroles mielleuses et mesurées que je trouve pour ma gouverne indigestes et puantes de supercherie ?