Il serait difficile de nier la nature infectieuse du sida. Le nombre élevé de contaminations par échange de seringues dans les groupes qui s’adonnent à la drogue en apporte une preuve qui semble décisive. Mais quelle est la nature exacte de l’agent pathogène en cause ?
Au départ, peut-être avec une trop grande précipitation, ce rôle fut attribué à un virus dénommé VIH. L’information venant d’instituts connus dans le monde fut acceptée comme une réalité qui ne pouvait être mise en doute. Cette situation dura plusieurs années. Mais des faits troublants amenèrent des controverses non encore résolues.
Par ailleurs, il a été démontré que les tests de dépistage du sida n’étaient pas spécifiques. De nombreuses causes pathologiques donnent de fausses « séropositivités ». Parmi les soixante causes d’erreurs, on peut citer :
tuberculose, paludisme, grippe. Il en est de même avec les conditions physiologiques de la grossesse.
Cette question demeure encore sans réponse définitive. L’adoption trop rapide du dogme VIH-SIDA a certainement bloqué des recherches qui auraient pu conduire à d’autres conclusions.
Le rôle possible des mycoplasmes a été évoqué à diverses reprises. Existerait-il des indices qui orienteraient vers ces bactéries sans paroi, échappant aux examens de routine ?. Deux espèces pathogènes pour l’homme sont connues, d’autres n’ont peut-être pas encore été détectées.
Mais, curieuse coïncidence, ces agents pathogènes peuvent être décelés par la technique PCR citée plus haut. On peut raisonnablement s’interroger sur la véritable signification de la « charge virale » que la microscopie électronique n’a pas confirmée.
D’autres hypothèses pourraient encore être émises sur le rôle d’agents infectieux inconnus, tels que les prions mis en évidence pour la maladie de la « vache folle ».
Des travaux scientifiques devraient être menés afin de confirmer ou d’infirmer l’ensemble de ces hypothèses.
Le flou qui demeure en dépit des conceptions officielles crée un malaise qui n’est pas qu’inconfort intellectuel. Il en résulte de graves conséquences sur le plan thérapeutique.
La vérité, quelle qu’elle soit, virus VIH ou non, est la clef de voûte pour les traitements à mettre en œuvre.
Plusieurs cas sont à considérer :
De plus, il s’y ajoute selon les associations de plantes, de nombreuses vertus : fébrifuge, diurétique, dépurative, tonique, antidiarrhéique, immunostimulante, etc.
Il ne s’agit pas d’une simple vue de l’esprit mais de réalisations concrètes. La médecine africaine au Sénégal détient des médications de ce type qui ont révélé toute leur efficacité. Pourquoi les plantes européennes n’auraient-elles pas les mêmes capacités ? De telles initiatives seraient très certainement bénéfiques pour les patients du sida.
ERREURS ET CONSÉQUENCES
De nombreuses erreurs aux lourdes conséquences jalonnent la route du sida.
La lutte contre le sida a été mal engagée dès le départ. On demeure dans l’impasse.
Pour retrouver le bon chemin, plusieurs conditions seraient indispensables :
Le sort de l’épidémie dépend de ces options.
Le 20.10.2009
Dr Yvette Parès
Professeur à l’Université de Dakar de 1960 à 1992
Dr ès-science
Dr en médecine
Directrice du centre de recherches biologiques sur la lèpre de 1975 à 1992
Directrice de l’Hôpital Traditionnel de Keur Massar (Sénégal) de 1980 à 2003