En matière de médecines non conventionnelles (terminologie officielle utilisée depuis la résolution du parlement européen A4-0075/97), mais plus encore pour l’homéopathie, on nage en pleine confusion.
Les uns veulent des preuves scientifiques, les autres se contentent de croire et les plus virulents de ne pas croire, mais tout ceci manque singulièrement d’équilibre et d’un minimum d’apaisement dans la réflexion.
Cet article fait suite à celui de Jean-Luc Martin-Lagardette, paru sur le (...)